Dripsody — Hugh Le Caine
Notre deuxième Moment incroyable du timbre est un autre classique, mais un peu moins connu. Il s’agit de Dripsody (1955)
"Goya" de Menotti et le Timbre des Acouphènes
Lorsqu’il s’est penché sur le problème compositionnel de la surdité de Goya, Gian Carlo Menotti a peut-être eu du mal à trouver la meilleure approche. Cependant, quarante ans avant la première de Goya (1986), il avait déjà exploré la question du mutisme.
Deus Cantando — Peter Ablinger
Cette moment incroyable du timbre est un peu un casse-tête : un piano qui recrée le timbre de la voix humaine. Il s’agit de Deus Cantando (2009) de Peter Ablinger, pour un piano joué par un dispositif mécanique contrôlé par ordinateur.
Atmosphères — György Ligeti
Nous commençons notre série de « moments incroyables du timbre » avec un véritable classique, le chef-d’œuvre orchestral d’une beauté paralysante de György Ligeti, Atmosphères (1961).