Buzzard and Kestrel — James Blake
Une caisse claire martèle inlassablement durant les soixante premières secondes de « Buzzard and Kestrel » de James Blake, ponctuée par des « swoops » aléatoires de voix vocodeurisées, un tapement de mains occasionnel et une sous-basse intermittente presque à la limite de l’audible